MUNSCH + FLYGMASKIN - double album release @ La Trictoterie - 17.06.23
https://www.billetweb.fr/concert-flygmaskin-munsch
MUNSCH - Entropia- Jazzmania
« Je sentais un cri infini à travers l’univers et qui déchirait la nature ». Ces mots figurent dans le journal intime d’Edvard Munch, le peintre pionnier de l’expressionisme, après qu’il eut ressenti subitement un profond malaise en regardant le ciel. Son œuvre la plus connue, qui symbolise encore aujourd’hui les angoisses existentielles de notre époque, a été la source d’inspiration du trio Lambinet / De Borman / Prudente, qu’importe finalement le pourquoi de l’ajout d’un « s » au nom du peintre norvégien. Encore fallait-il trouver la clé qui permette aux trois instruments de base (trombone, accordéon et percussions) de fonctionner conjointement.
Le talent des uns et des autres, mais aussi quelques effets électroniques et quelques synthétiseurs, ont servi de ciment pour ériger les fondements mélodiques et rythmiques qui habitent la musique de Munsch.
Avec cet « Entropia » décalé, un titre qu’aurait pu choisir Lars Von Trier, il sera bien question d’un cri. Celui qui s’échappe de nous, sans contrôle, lorsque le stress se trouve à son comble, celui qui formule de la joie, celui que nous sommes parfois bien incapables d’exprimer.
En d’autres notes, l’electro-tension (« Mass Flux », « Martinet » qui vire au techno), la valse triste (« Selena »), la joie communicative (« Stomp ») et même l’apaisement siègent ensemble de façon harmonieuse au sein d’une coalition improbable d’instruments qui ont tous leur propre cri à pousser.
A nous de l’entendre.
Yves Tassin
Félix Zurstrassen - NOVA LIVE - Le SOIR
Une belle musique qui montre le talent de ce band dans l’interprétation live de la musique de Félix. Impros superbes, rythme incroyable, couleurs magnifiques. Félix and Co reprennent en juin le chemin des studios pour fournir un nouvel album studio. On est impatient. (Le SOIR)
Fabrice Alleman - Spirit one: Clarity - Le SOIR
“…Un disque qui tourne autour de Chet Baker, plutôt une inspiration qu’un hommage. Alleman aime Baker parce que sa musique est simple, évidente, immédiate. Sans que cette ligne claire empêche ni variations ni fulgurances. Sur scène, Fabrice était accompagné de Nicola Andrioli au piano, de Jean-Louis Rassinfosse à la contre- basse et de Philip Catherine à la guitare. Ce dernier est toujours de la partie sur deux des neuf titres. Mais s’ajoutent Mimi Verderame et Armando Luongo à la batterie, Michel Seba aux percussions et les cordes du Budapest Scoring Orchestra. C’est un album inspiré, engagé, mais jamais ennuyeux. La preuve par l’amusant “Just take as it is”, que Ben Sidran aurait pu écrire. C’est une musique qui touche les âmes. Et qu’on a envie de réécouter immédiatement, les Eyes Closed du dernier morceau.” **** (JC Vantroyen, LE SOIR)
Fabrice Alleman - Spirit one: Clarity - Jazzmania/Dragonjazz
Cette musique d’une évidente clarté a la force d’âme d’un marchand d’espoir et la profondeur d’un chant spirituel. Elévateur !” (Pierre Dulieu, Dragon jazz)
IGLOO RECORDS 45YRS NIGHT in PARIS
IGLOO Records fête ses 45 ans à Paris!
Pour l’occasion: deux artistes phares de la scène du jazz déjantée made in Belgium chaufferont les planches du Studio de l’Ermitage!
Guillaume Vierset et son projet EDGES présenteront “The End of The F***ing world”, neuf titres de lave rougie, de roche noircie, de jeux de rôles aux croisements du rock, du jazz, du noisy contemporain, de flirts soniques dissonants. Manuel Hermia et son Freetet exploreront la question de la Liberté à travers le prisme du jazz !
Deux générations, deux concerts, deux présentation d’albums qui nous emmèneront à la découverte de leurs univers musicaux : moderne, libertaire, rock psyché ou indé…
GUILLAUME VIERSET – EDGES
Riffs accrocheurs, clavier pyscho-vintage, guitare tantôt aérienne tantôt écorchée, piano acoustique grisant : EDGES déroule un jazz crasseux et impoli, pourtant jamais dénué de cette poésie propre au compositeur Guillaume Vierset, qui adoucit les angles et berce le public entre deux moments plus incisifs.
Guillaume Vierset guitare électrique
Matteo Mazzu basse électrique
Jozef Dumoulin piano & claviers
Antoine Pierre batterie
MANUEL HERMIA – FREETET
Manuel Hermia poursuit son aventure libertaire avec Freetet, un quintet moderne qui réunit ses deux comparses de longue date – Manolo Cabras, Joao Lobo – et une section de cuivre de haut vol – Samuel Blaser, Jean-Paul Estiévenart – pour explorer la question de la Liberté à travers le prisme du jazz. Le Freetet tente de trouver un équilibre entre prises de parole individuelles et collectives et propose un modèle le plus collaboratif possible.
Manuel Hermia sax
Jean-Paul Estiévenart trompette
Samuel Blaser trombone
Manolo Cabras contrebasse
João Lobo batterie
Trio Grande - Impertinence - JAZZISM
BIG IN BELGIUM
Michel Debrulle. De eeuwig jeugd opeisen.
(Interview by Georges Tonla Briquet)
Fabrice Alleman - Spirit one: Clarity - Jazzism
“Via de ziel, het hart raken” (interview by Willem Jongeleen, Jazzism)
Hélène Duret - Synestet - Rôles - Jazzmagazine (HS)
* BEST OF 2022 *
Hélène Duret – Synestet “rôles” sélectionné parmi les 40 disques de l’année – Jazz Magazine HS (dec-janv)
Album “Choc”
Fabrice Alleman - Assisi - CLIP
Clip “Assisi”, extrait de l’album “Spirit one: Clarity”
réalisé par Maël Lagadec
avec l’aide de Sabam For Culture
Fabrice Alleman - Spirit one: Clarity - Jazzmania
“Le disque n’est pas un hommage à Chet, mais il a été l’étincelle de départ.”
Une interview de Jean-Pierre Goffin dans JAZZMANIA
Majid Bekkas - Joudour - Mixedworldmagazine
Muzikaal veelvraat Majid Bekkas uit Marokko keert na enkele vrijages met jazzmusici als Louis Sclavis terug naar zijn Afrikaanse roots. Naast de instrumenten die we van hem al gewend waren, zoals ûd, gitaar en gimbri (de basluit van de Marokkaanse gnawamuzikanten), neemt hij dit keer ook n’goni, balafon, kalimba, bouzouki en allerhande slagwerk voor zijn rekening. Partners in crime op dit verrassende album zijn onder anderen slagwerker Karim Ziad, saxofonist en bansurispeler Manuel Hermia en toetsenist Michael Hornek. In het eerste stuk drukt de kora van Mbemba Diabaté een zuidelijk stempel op de muziek, maar meteen daarna volgt de kenmerkende vraag-en-antwoord-zang van de gnawa. Na een wat pompeuze (en overbodige) aankondiging in het Engels stapt Bekkas over op wat hij Marokkaanse blues noemt. In plaats van een wiegende kamelentred horen we een jachtige galop, die wordt voortgestuwd door vurig spel op de rebab (vedel). Ook Desert Swing houdt de vaart erin, terwijl Bekkas zijn elektrische gitaar lekker laat janken en gieren en Ziad trefzekere klappen uitdeelt, onderbroken door een razende solo op darbouka door Mustafa Antari. Bekkas’ plokkende gimbrispel houdt de zaak bij elkaar. Sahara Tnadi biedt Bekkas volop gelegenheid om te schitteren als zanger. Het instrumentale Zagora Palms doet enigszins denken aan de muziek van de Libanese ûdspeler en componist Rabih Abou-Khalil. Niet alleen omdat Majid hier eveneens de Arabische luit bespeelt, maar ook door de complexe ritmische structuur en de fraaie saxofoonsolo van Hermia. Verrassend is Bekkas in de gedaante van singer-songwriter, als hij zichzelf in het melodieuze Mabrate Tessfa gitaartokkelend begeleid. Dan duikt er zelfs even een heus orkest op. Niks voor puristen, dit uiterst vrijpostige en veelzijdige album, maar voor muzikale omnivoren een regelrecht feestmaal. (Ton Maas)
Majid Bekkas - Joudour - Telerama
“avec Joudour, il retourne aux sources, l’esprit en fusion (…) fougue et groove au rendez-vous” (Télérama, TTT)
Majid Bekkas - Joudour - le Monde
Irriguée d’influences, à commencer par le groove rythmique entêtant des confréries gnaoua du Maroc et le blues afro-américain, la musique du chanteur et multi-instrumentiste (guitare, guembri, kalimba, n’goni…) marocain Majid Bekkas est un voyage, une fête nomade. Elle porte un souffle de liberté, rayonne de lumière joyeuse, même quand sa voix poignante crie la solitude (Ahia Mhanti, le magique et très mandingue titre d’ouverture, avec la kora de Mbemba Diabaté), ou chante un monde sans paix ni vie sereine (la ballade mélancolique Mabrate Tessfa). Dans cet album paraissant une vingtaine d’années après son premier, African Gnaoua Blues (2001), auquel participait déjà l’éclectique percussionniste Khalid Kouhen, Majid Bekkas s’assure aussi la présence, entre autres, de l’excellent batteur Karim Ziad et de Foulane Bouhssine, qui y fait virevolter son ribab – violon monocorde berbère. S’il fallait hiérarchiser la copieuse production de Majid Bekkas (dix-huit albums à ce jour), Joudour (« racines », en arabe), conçu pendant le confinement, donc impliquant des collaborations à distance, trouverait sa place au sommet. Patrick Labesse
Trio Grande - Impertinence - CLIP
Le film “Impertinence” réalisé par Lucas Racasse
Igloo Records/ Moyens du Bord Production / Collectif du Lion
avec l’aide de Sabam For Culture
Trio Grande - Impertinence - JAZZMAGAZINE (CHOC)
“Le Trio Grande fête ses 30 ans de la plus belle des manières, avec un sixième disque vif, allègre, qui réconcilie pulsion de danse et expérimentations sonores” **** ALBUM CHOC (JF Mondot)
Trio Grande - Impertinence - BX1
Michel Debrulle présente les projets du Collectif du Lion, dont Trio Grande “Impertinence” et la réédition de Trio Bravo dans “Connaissez-vous” sur BX1 (Fabrice Grosfilley)
Trio Grande - Impertinence - Dragonjazz
Tout ça respire l’effronterie, d’où le titre de l’album, Impertinence, subtilement symbolisé par trois grands échassiers en vadrouille s’élançant sur un piétonnier alors que le feu « piéton » est au rouge (la musique sur le morceau éponyme semble par ailleurs évoquer les discussions animées de ces trois volatiles à la Disney qu’on imagine passablement éméchés). Mais c’est aussi enjoué, imprévisible et, surtout, très drôle. Vingt-huit ans après leur premier album éponyme, le Trio Grande revenu à son format de base n’a rien perdu de sa vitalité, de sa fantaisie et de son aptitude naturelle à tout emporter dans un grand élan de sonorités festives. (Pierre Dulieu)
Hélène Duret - Synestet - Rôles - Jazzmania
“Un line-up qui ne manque pas d’exciter l’écoute. Et c’est bien le cas avec ce disque dans lequel on apprécie le sens mélodique des compositions, toutes de la clarinettiste sauf « La mesure du possible » de Sauzereau et « Mouillette », une pièce improvisée par le guitariste et le batteur. Une pièce en duo pour ouvrir l’album, une autre pour le clôturer. La mise en place est, elle aussi, soignée et réfléchie, avec une volonté de mettre en avant les membres du quintet. Car c’est là l’un des intérêts de l’album : on n’a jamais l’impression d’entendre un quintet de jazz, tant les parties des solistes s’intègrent avec le raffinement d’une musique de chambre. « Hier » est une petite merveille de composition, tout comme « Reine sous terre ». Le solo de Fil Caporali sur « Pas de Signal » est lui aussi un grand moment de sonorité douce. Car si l’album brille par ses compositions et l’agencement des morceaux, le son d’ensemble est lui aussi prenant de bout en bout, preuve sans aucun doute du travail d’équipe que le projet a développé. Quant à la « directrice » – prendre une direction, une esthétique – du projet, on aurait pu imaginer chez elle l’influence des grands clarinettistes français (Sclavis, Kassap, Portal), mais c’est plutôt du côté de Jimmy Giuffre qu’elle a puisé son sens de la mélodie, de la pureté du son et du mouvement dansant (la danse, un art qu’elle a par ailleurs pratiqué).” (JP Goffin, Jazzmania)
Hélène Duret - Synestet - Rôles - Jazzmagazine
* CHOC JAZZMAGAZINE *
“Il est rare que l’exigence formelle coïncide avec une intensité de tous les instants. Cette alliance fragile, on la trouve dans le deuxième disque du quintette de la clarinettiste Hélène Duret” (Jean-François Mondot, Jazzmagazine)
“Il y a dans ce disque une profondeur et une urgence poétique qui se ressentent à chaque morceau“
Hélène Duret - Synestet - Rôles - LE SOIR
“Dès les premières notes du premier morceau, « Le bonnet », on sait que cet album sera mystérieux. Ce duo clarinette-saxophone est assez énigmatique que pour susciter la curiosité de l’auditeur. La suite ne le décevra pas. Tout ici est à la fois simple : mélodies claires, harmonies aussi. Et inattendu : la manière de positionner la guitare par exemple, les solos de sax ébouriffants, les percussions inventives, le groove de la contrebasse, la cha- leur hermétique de la clarinette. Le tout enve- loppé d’une ironie amu- sée, comme si Synestet nous faisait un clin d’œil. Voilà un album inouï, dans le vrai sens du terme : comme on n’en a pas encore entendu.” **** LE SOIR, JC Vantroyen
Guillaume Vierset - EDGES - Jazzques
Et ça part aussitôt en garage rock psyché. Le Nord Stage 2 et la guitare hurlent et se frottent. La batterie tape sec, la basse bourdonne. « First Round » (tiré de l’album « The End Of The F***ing World », tout un programme !) puis deux morceaux sans noms mettent le feu. Toutes les influences citées plus haut nous reviennent en pleine face. Autant dire qu’on ne s’ennuie pas une seconde et qu’on voyage ! Tout est possible, rien n’est interdit et chaque musicien défie l’autre pour aller toujours plus haut et plus loin. Ça joue ! (Jacques Prouvost)
Manuel Hermia - Freetet - Jazzpodium
Und es klingt, als wurzele es tief in der Harmolodik des Ornette Cole man Quartet der 1960er-Jahre, mit den entsprechenden Mög lichkeiten zur libertären musi kalischen Kollaboration, aber modernisiert durch viele formale Neuerungen. Und man kann schon sagen, dass Flermia die ses Konzept erfolgreich reali siert hat. Es gibt keine Beliebig keit, kein kollektives Powerplay in dieser Musik, die damit einer Pseudofreiheit, einer Pseudoindividualität entsprechen würde – alles ist wohlgeordnet durchs Arrangement, das alle mögli chen Abstufungen zwischen Balance und Nichtbalance, zwi schen Plan und Freiheit zulässt. Und genau das macht den Reiz dieser Musik aus. (Benno Bartsch)
Manuel Hermia - Freetet - L'AVENIR
Hommage au free jazz et à la liberté de parole, le « Freetet » s’inspire de la tradition sur de nouvelles compositions. Brillant !
“Loin d’être inaccessible, la musique du Freetet est exaltante et belle de bout en bout.”
(JP Goffin)
Lorenzo Di Maio - ARCO- Live at Flagey - The End at the beginning
Le 10 septembre 2021, Lorenzo Di Maio présentait son album et nouveau projet ARCO.
“The End at the beginning”, seconde vidéo extraite de ce concert release.
Lorenzo Di Maio guitar / Sam Gerstmans double bass / Antoine Pierre drums & FX
Ensemble UFO : Maritsa Ney violin / Martin Lauwers violin / Marie Ghitta alto violin / Merryl Havard cello
arrangements Fabian Fiorini
photo vignette © Didier Wagner
Lorenzo Di Maio - ARCO- Live at Flagey
Le 10 septembre 2021, Lorenzo Di Maio présentait son album et nouveau projet ARCO. “No more Samba”, première vidéo extraite de ce concert de présentation.
Lorenzo Di Maio guitar / Sam Gerstmans double bass / Antoine Pierre drums & FX
Ensemble UFO : Maritsa Ney violin / Martin Lauwers violin / Marie Ghitta alto violin / Merryl Havard cello
arrangements Fabian Fiorini
Manuel Hermia - Freetet - Le SOIR
” c’est bien la liberté de chacun des musiciens qui est ici mise en avant. Mais ne craignez rien : ce n’est pas du tout inaudible. N’hésitez pas, soyez impavides et foncez. Ecoutez « Serial Joker », c’est facile et exaltant. « Schisms » est sans doute plus ardu, mais « Ze Theme » et « Hidden Codes » sont enthousiasmants. Et le reste suivra, naturellement, jusqu’à cette super-version du « Temps des cerises ». Et vous serez si heureux que vous reprendrez le disque au début. Tant les musiques et les musiciens sont incroyables. (JC Vantroyen, LE SOIR)
Guillaume Vierset / Harvest Group - Lightmares - Le SOIR
“C’est un jazz pop plein d’atmosphère qui sinue entre rêve et réalité, qu’on écoute comme un rêve éveillé et qui suscite en nous des images oniriques tantôt sereines tantôt mystérieuses.” (Le Soir, JC Vantriyen)
Guillaume Vierset / Harvest Group - Lightmares - Le Vif/Focus
Guitariste acide, blindé de jazz, de rock et d’effluves psyché, le compositeur Guillaume Vierset est l’un des musiciens belges importants de l’époque. Y compris sur le 3ième album de son Harvest Group, Lightmares
(Focus/ Vif, rencontre avec Philippe Cornet)
“le fils de 1987 amène la lumière dans le sillage d’une six cordes jazz allumée au rock et aux multiples trouvailles sonores aux effluves acides. En compagnie sur ce troisième opus, joliment titré “Lightmares”, d’une bonne dose d’onirisme et d’ambiances “entre chien et loup”.
(Philippe Cornet, Le Vif/ Focus)
Thomas Champagne - Tide - New York City Jazz Records
“Tide is a singular achievement, an utterly unique quintet album filled with strikingly original music” (New York City Jazz Record, Février 2022)
“The quintet’s sounds heavily weighted by often rock-resonant guitar and eccentric rock-pop-jazz hybrid drumming.(…) Champagne shines (…) only eight tracks but each is unique and original making for a rich listening experience” (New-York City Jazz Record, George Kanzler)
Toine Thys - Overseas - On Tour
OVERSEAS TOUR
08/03 Charleville-Mézières, Charleville Action Jazz (Fr)
09/03 360 Music Factory, Paris (Fr)
11/03 Flagey Studio 4, Brussels (B)
12/03 L’An Vert, Liège (B)
15/03 The Black Cat, Torhout (B)
16/03 Handelsbeurs, Ghent (B)
17/03 Susurro Club, Barcelona (ES)
29/04 Auditorium Abel Dubois, Mons (B)
30/04 Tournai Jazz Festival, 19:45, Magic Mirror (B)
Après la sortie de leur premier album en 2021 acclamé dans la presse internationale, Toine Thys présente (enfin après le report de la tournée 2021) son projet Overseas lors d’une tournée de 9 dates en Belgique, en France et en Espagne.
OVERSEAS est l’histoire de la rencontre entre le saxophoniste Bruxellois Toine Thys et le joueur de oud égyptien Ihab Radwan. Accompagnés par le percussionniste brésilien Zé Luis Nascimento (Césaria Evora, Al Di Meola, Oumou Sangare), la violoncelliste luxembourgeoise Annemie Osborne (Tcha Limberger, Magic Malik, Marillion), et le pianiste néerlandais Harmen Fraanje (ECM, Ernst Reijseger). Overseas se situe la croisée de la musique arabe et des modes hijazz, du jazz et de l’improvisation tonale, de la musique classique et des rythmes de la musique brésilienne.
” Une telle musique nous fait respirer le grand air” Jazzmagazine ****
Martin Salemi- About time - Dragon Jazz
Martin Salemi- About time - Chambre avec vue - Musiq3
Vue sur le temps qui passe avec Martin Salemi
Rencontre dans “Chambre avec vue” sur Musiq3 – RTBF
Martin Salemi- About time - Musiq3
“Le pianiste qui nous fait perdre la notion du temps”
Rencontre dans “La touche jeune talent” Musiq3 – RTBF